Une rédactrice SSENSE explore l’esthétique singulière du matériau persistant du monde de la chaussure, le caoutchouc crêpe.
Lucas Mascatello observe les adaptations antisociales du style en cette ère d’hyper connectivité.
L’auteure Tatum Dooley se penche sur la dissolution de la hiérarchie de l’espace dans les aménagements les plus prestigieux de l’architecture et de la mode.
Romany Williams, rédactrice pour SSENSE, visite la boutique phare Prada Aoyama à Tokyo.
Rembert Browne et son costume de voyage Thom Browne.
La photographe favorite du milieu de la mode dévoile ses pensées sur la fonction du corps et sur la place qu’elle accorde à la durabilité.
Dans cette tendance où la féminité est rétroactivement radioactive, les styles traditionnellement genrés portent le poids de leur symbole historique.
Pour la troisième itération de l’initiative Genius de Moncler, le designer de vêtements pour homme Craig Green prête sa vision futuriste du prêt-à-porter masculin à l’expertise technique de la marque.
Rosie Prata visite le studio maison de la designer à Londres pour discuter de sa nouvelle ligne de vêtements, A_PLAN_ACTIVATION
Le directeur artistique de Sies Marjan, Sander Lak, aborde le mouvement, la couleur et la façon dont le cinéma a inspiré son amour de la mode.
Le look de Rihanna décortiqué, avec les rouges à lèvres Fenty Beauty et les casquettes de la saison SSENSE.
Arabelle Sicardi s’intéresse à la chaussure mythique Margiela, qui ressemble à un pied nu posé sur un talon haut.
Aux sources du succès persistant de la marque de football.
Une semaine après le défilé printemps-été 2019 de Dior Homme à Paris, la designer dont les créations sont portées par Rihanna et Kanye, rentre à la maison à Tokyo et discute du chemin du succès.
Les rédacteurs SSENSE ont fait la liste de tout ce qui est rayé, de A à Z.
Pour la dernière édition ASMR, Rebecca Storm documente les bruits de clapotis de l’été.
Une étude des nouveautés et des réalités de l’obsession de la mode pour la culture des cowboys.
À Comme des Garçons Paris, Rei Kawakubo s’entoure de sa famille et révèle l’ADN qui rend l’ensemble de ses créations pérennes.